Coral Gables poursuis FlipKey pour des locations illégales à court terme

Coral Gables poursuis FlipKey pour des locations illégales à court terme

Alors que Coral Gables joue bien avec deux sociétés de vacances à court terme, les fonctionnaires de la ville prennent une troisième entreprise devant les tribunaux.

Le procureur de la ville Craig Leen a déclaré à The Real Deal que Coral Gables conclut des accords avec Airbnb et Homeaway pour arrêter les locations illégales à court terme dans les quartiers résidentiels. Cependant, Coral Gables a dû intenter une action contre la propriété de FlipKey, parce que la société a ignoré les avertissements et les citations sur la possibilité pour les propriétaires résidentiels de Coral Gables de faire de la publicité sur les locations de vacances à court terme sur leur application Web, a déclaré M. Leen.

“La ville est très protectrice de ses zones résidentielles”, a déclaré M. Leen. «Nous n’autorisons pas les activités commerciales ou les logements de nuit dans les quartiers résidentiels. FlipKey n’a jamais répondu à une lettre de cessation et de désistement. La ville a donné à la compagnie une citation et ils n’ont pas non plus répondu à cela. ”

TripAdvisor Le PDG Stephen Kaufer n’a pas répondu à un message laissé dans sa messagerie vocale et un porte-parole de FlipKey n’a pas répondu à une demande de commentaires par courrier électronique.

Leen a déclaré que Coral Gables a également envoyé des lettres de cessation et de désistement au début de janvier à Airbnb et Homeaway. “Nous avons été contactés par les deux pour travailler la question”, a-t-il déclaré. “Nous sommes en train de le faire. Nous continuerions d’appliquer notre code et ils nous aideraient. “La ville établit des accords qui dureront six mois, at-il dit.

Lors de la réunion de la commission de la ville du 9 mai, Leen a déclaré aux officiels élus de Coral Gables que son bureau préparerait une lettre indiquant que les locations à court terme dans les quartiers résidentiels sont interdites. Airbnb et Homeaway fourniraient cette lettre à ses hôtes à Coral Gables et les entreprises le publieraient également sur leurs sites Web. Leen a également déclaré que les deux entreprises n’interféreraient pas avec les mesures d’application du code, mais ne fourniraient pas d’informations personnelles sur les hôtes de la ville.

“Je pense que c’est un bon compromis et une bonne solution”, a déclaré le maire Raul Valdes-Fauli.

Dans un communiqué d’entreprise, un porte-parole d’Airbnb a déclaré à TRD que la société et Coral Gables travaillaient de bonne foi pour parvenir à une solution pratique. “Au cours des six prochains mois, nous sommes impatients de faire progresser notre partenariat avec Coral Gables pour aider à élaborer des règles de partage à la maison justes et judicieuses qui fonctionnent pour tous”, a déclaré le communiqué. Un courrier électronique adressé au service des médias d’Homeaway demandant un commentaire n’a pas été renvoyé.

Selon le procès du 8 mai de la ville à Miami-Dade Circuit Court, Coral Gables cherche une injonction interdisant FlipKey à partir de la liste des propriétés à Coral Gables. FlipKey a ignoré l’avis initial de la ville sur le 4 janvier pour arrêter l’inscription des maisons et des appartements de Coral Gables avant le 15ème jour de ce mois-ci, selon le procès.

La ville a envoyé une citation le 18 janvier adressée à la vice-présidente de FlipKey, Tracey Zehn, au siège de Boston de la société, indiquant que la société commencerait à accumuler des amendes quotidiennes de 500 $. Toutefois, Zehn a quitté l’entreprise peu de temps après pour devenir président de Zipcar. Selon Leen, FlipKey a raté un délai du 7 février pour demander une audience administrative et a accumulé des amendes de 59 000 $, plus une taxe administrative de 108 $.

Source : https://therealdeal.com/miami/2017/05/17/coral-gables-sues-flipkey-over-illegal-short-term-rentals/